"Na véspera de não partir nunca Ao menos não há que arrumar malas Nem que fazer planos em papel... Todos os dias é véspera de não partir nunca" Álvaro de Campos
quarta-feira, 27 de março de 2013
Les cowboys fringants - Les hirondelles
Quand on le voyait
Il était parfait
Il avait la vie dont les gens rêvaient
Famille charmante
Et une entreprise plus que florissante
Une épouse aimante
Mais en vérité
Il était vidé
Et avait la fuite dans les idées
Tous les jours pourtant
Il remettait son masque souriant
Comme un paravent
L'image que l'on donne
N'est pas toujours la bonne
Volent, volent, les hirondelles
Même les beaux plumages
Peuvent être une cage
Elle était distante
Un peu arrogante
On la trouvait snob
Et condescendante
Toujours à l'écart
Survolant les gens
Du haut du regard
Froides et sans égard
Mais sa suffisante
tait que défense
Et un truc pour sauver les apparences
Car cette timide
Avait toujours été en vain avide
D'amitiés solides
L'image que l'on donne
N'est pas toujours la bonne
Volent, volent, les hirondelles
Même les beaux plumages
Peuvent être une cage
On disait souvent
Qu'il était avenant
Et qu'il avait l'âme du bon vivant
Comme sans tourment qui se laisser aller au gré du vent
Un Roger bon temps
Mais il s'enivrait
C'est qu'il se terrait
Au fond de lui un malaise un boulet
Et son air gaillard
tout comme sa face un dodo fêtard
N'était que rempart
L'image que l'on donne
N'est pas toujours la bonne
Volent, volent, les hirondelles
Même les beaux plumages
Peuvent être une cage
L'image que l'on donne
N'est pas toujours la bonne
Volent, volent, les hirondelles
Même les beaux plumages
Peuvent être une cage
Volent, volent, les hirondelles
Elles sont épuisées
Elles piquent du nez
http://youtu.be/-TjXLEQr00Y
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